Plüsh n’a pas été inventé. Il est né d’un lien qu’on ne voulait pas perdre.

Je m’appelle Mélanie, et si je devais vous parler de Plüsh sans vous parler de Rio, je mentirais.

Rio, c’est mon cavalier King Charles.
Un petit chien à l’allure fière et au regard plein de douceur.
Mais aussi, un cœur fragile.
Littéralement.

Le jour où on m’a parlé de sa maladie cardiaque, le mot “temps” a pris un autre sens. Tout est devenu plus lent. Plus précieux. Les balades sont devenues des moments suspendus, des minutes où chaque respiration comptait plus que la précédente.

Mais même avec tout l’amour du monde, on peut passer à côté. Une laisse dans une main, un téléphone dans l’autre. Un sac, des pensées, et cette présence invisible qui s’efface doucement.

Un jour, en marchant avec lui, j’ai eu un pincement au cœur.
J’étais là, physiquement. Mais pas avec lui. Et j’ai su que ça ne me suffisait plus.

Je ne voulais plus tenir mon chien. Je voulais marcher avec lui.
Être libre dans mes gestes, pour mieux lui offrir les miens.

Alors j’ai imaginé autre chose.
Une laisse qui ne tire pas, qui ne coupe pas le lien, mais qui l’accompagne.
Quelque chose de simple, doux, fluide.
Une présence, pas un poids.

C’est comme ça qu’est né Plüsh.

Pas pour inventer un nouveau produit.
Mais pour créer un autre rapport à la balade.
Un moment sincère. Un instant vécu.

Ce que je vous propose aujourd’hui,

ce n’est pas une corde joliment tressée.
C’est une manière de mieux aimer, tant qu’il est encore temps.
De ralentir. De se connecter.
De transformer une promenade en un souvenir.

Pour Rio.
Pour moi.
Pour vous.

Plüsh.

💛
Mélanie
Fondatrice de Plüsh
(et humaine aimée d’un petit cœur très courageux)